7 septembre 2017
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Cet arbre vit sur les ruines grattées, fêlées,
La mémoire gît rampante enracinée.
Les fidèles chauves-souris viennent tourner
A la même heure usée, ensorcelées.
L'arbre peine. Les dures ruines décharnées
Capturent les grains en liberté malmenés,
Lourd destin, trop légers hasards morts empalés.
Là-bas, le sable durcit, les pas finis, scellés.