Il y a un un souffle dans ta tristesse tant

Sentie. Tu expires, décoiffes la douleur,
Tu inspires l'élan qui rhabille latent.
Les guerres se dénouent, sont bercées par les pleurs.
La brise insuffle ton réveil apportant
Le renouveau aux grandes façons, il t'attend,
Il dialogue même avec sanglots, crève-cœur.
Tu t'attristes, il pleure encore ton cœur.