D'un éclair, l'angoisse a dévoilé Tout l'enfer derrière les cieux fêlés, Brèches de feu, de peurs venues du pire, Torches aveugles d'un funeste empire.
L'enfer se morfond, luit la nuit, expire Les vents perdus, pleurs moites avalés. Un sens perce le buvard révélé A l'aube couchant les fiévreux soupirs.
Le vide pleure sa profonde dimension. Le creux silencieux, les démons tissent, se terrent, Saisissent l'ange au talon, chair de mystère, Sacrifié au fleuve, aux noires impulsions.
Ses ailes ivres, sa pensée se désaltère, Elle est accrochée à l'ombre folle, déterre Toutes les duelles, les farouches scissions. Le ciel luit au fond des pures exaltations.
La poésie est un lien entre deux mots et une image mentale. Mes idées débordent, mes phrases originales. Histoires de tout et rien, un peu comme la vie. Je n'écris pas, je suggère, j'invite. J'aime les sous-entendus bien entendus. J'aime le symbole des mots. Je crée mes métaphores, j'en reviens toujours à des choses archaïques.
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"Quelle impudeur d'écrire", lui dis-je. "Pas de pudeur en poésie", me dit-elle.